Un bon souvenir [ Yoko et libre ]

Edward n'avait pas grand-chose à faire de son après-midi. Il n'était pas non plus d'humeur à voir d'autres personnes. Après avoir passé 3 heures à lire à la bibliothèque des livres qui parlaient d'animaux, il cherchait des informations sur les animaux de personnes dont il avait remarqué la transformation, il eu l'idée de venir se reposer au salon.

D'un coup il poussa la porte avec son pied. Elle s'ouvrit et il passa, il stoppa avant de regarder qui se trouvait dans le salon. Quelle réjouissance, personne n'y était il allait pouvoir être tranquille sans que personne ne le dérange. Son regard finit par se poser sur le piano qui était au fond de la pièce. Doucement il marcha vers celui-ci. Il s'assoiya sur le banc avant de passer son doigt sur les touches pour finir par souffler. Un nuage de poussière lui arriva en plein visage.

Une touche, 2 touches et il était partit. On pu entendre une chanson, cette chanson il l'avait appris chez lui quand il était jeune. Que de beaux souvenirs, qui aurait cru que cet homme jouait du piano ? Ce n'est pas ce qu'il montrait aux gens qu'il rencontrait, mais n'avons-nous pas nos propres passes-temps ? La chanson se faisait de plus en plus belle malgré les erreurs qu'il faisait.

Yoko marchait lentement dans les corridors, déserts dans cette partie du centre. Elle avait une envie folle d'être seule. Cette journée avait été pénible, comme toute les précédentes. La routine était maître dans cet endroit. Yoko commençait à s'habituer à ce au combien lassant mode de vie sans vraiment l’aimer je dois dire. Elle en avait marre de ces repas immangeables et de ces traitements innommables qu’elle endurait avec les autres pensionnaires, mais elle savait bien qu’elle sortirait d’ici un jour...

Bon, où en étions nous, oui, Yoko marchait lentement dans ces corridors en maudissant ces scientifiques qui l’avait « examiner » cette journée là. Puis elle s’arrêta net. Oui, c’était bien de la musique qu’elle entendait. Cette mélodie berça son cœur pendant un minimum d’une seconde ce qui dissipa son envie de solitude. Une complainte magnifique qui brisa le silence et la monotonie de cette journée. Lorsqu’elle revint à ses esprits, dans son corps meurtri par ces cinglés osant s’appeler savants elle ne pu s’empêcher de partir à la recherche de l’auteur de ce chant

Elle accéléra le pas en direction du salon, seul et unique endroit où on pouvait retrouver un piano. À chaque enjambée la musique était plus forte. Elle arriva devant la porte du salon et se demanda si elle devait interrompre le récital qui se jouait de l’autre côté ou resté planté la comme un idiote. La deuxième option n’était pas envisageable non, mais ferait-elle mieux d’entrer comme si rien n’était. Bien sure, elle ne pouvait pas entrer et faire la discussion à cette personne. De toute façon elle trouvait toutes les personnes de ce centre barbares et bruts. Elle entra alors mine de rien dans la pièce.

Elle marcha d’un pas feutré jusqu’au divan ramassé dans un coin du salon. Elle pris bien soin de prendre une place qui n’était pas taché et s’assis mine de rien. Bien qu’elle était presque la seule du centre à ne posséder aucun pouvoir spéciaux elle était une très bonne menteuse et avait jouer le jeu à la perfection. Elle sorti alors un bouquin emprunter à la bibliothèque et commença à le lire.

Après quelques minutes de lecture elle se rendit compte qu’elle n’avait pas vu qui était installé au piano. Elle jeta alors un bref regard par dessus son livre et vit qu’il sajissaitd’Edouard Karev. Elle pris une grande inspiration et tenta de sa calmer. Comme à chaque fois qu’elle croissait Edouard elle se sentait mal à l’aise. Pas seulement à cause de ses mystérieux pouvoir. Oui, car on a fini pas l’appeler le marionnettiste. Il contrôle non seulement les gens, mais aussi leurs pensées. Ce qui fait qu’il est crains et connu partout dans le centre. Mais Yoko n’appréciait seulement pas sa façon d’agir. Comme si c’était tout sont être qui était mal à l’aise avec lui.

Elle pria donc tout bas qu’il ne lui parle pas et qu’elle puisse oublier sa présence pour reprendre sa lecture.

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