.:Central Wild:.
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


Un être unique ... une transformation douloureuse ... Bienvenue a central wild
 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le deal à ne pas rater :
Cdiscount : -30€ dès 300€ d’achat sur une sélection Apple
Voir le deal

 

 Travail de jour comme de nuit ( Alec )

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Elizabeth Portman

Elizabeth Portman



Feuille de personnage
Who I Am:
Condition dans le centre :: Scientifique
Animorphose:

Travail de jour comme de nuit ( Alec ) Empty
MessageSujet: Travail de jour comme de nuit ( Alec )   Travail de jour comme de nuit ( Alec ) EmptyDim 29 Mar - 23:24

    Penchée sur un microscope haute définition, Elizabeth Portman essayer de découvrir si le gène présent dans l'échantillon d'ADN était normal ou muté. Ces choses là étaient si petites, si infimes, qu'il était presque impossible de les voir, malgré la puissance de l'engin scientifique. Prenant quelques notes sur son ordinateur portable, le docteur retira ses yeux de l'objectif et s'étira. Cela faisait maintenant plus de trois heures qu'elle regardait ce gène. Levant la tête vers l'horloge principale, elle vit qu'il n'était que 8H00 du matin. Oui, Elizabeth était une bûcheuse, passionnée par ce qu'elle faisait. Des nuits blanches, elle en faisait toutes les semaines, trop occupée dans le labos par un cheveux, un morceau de peau, de poil...

    C'était l'heure de sa pause, surtout que son premier détenus n'allait pas tarder à arriver. Les détenus... elle en recevait très peu, passant son temps derrière un écran d'ordinateur, des microscope, et des cahiers gorgés d'écriture presque illisibles et des ratures. La jeune femme était vêtue d'une blouse blanche courte qui montrait avantageusement ses formes, grâce notamment à son décolleté auquel manquaient trois ou quatre boutons qui, faute de temps, n'avaient jamais été recousue. Tirant la cafetière de son socle, elle se servit un grand bol de café noir auquel elle rajouta un sucre avant de s'asseoir à son bureau, annexe du laboratoire.

    Posant la tasse portant le logos du Starbuck Coffee, clin d'oeil à son Europe natale, elle ouvrit l'écran de son ordinateur pour voir qui était le détenu qu'elle allait recevoir et ce qu'elle devrait lui faire subir. Même si elle n'était pas de ces collègues sadiques qui se jettent sur les détenus pour les faire souffrir, parfois jusqu'à ce que mort s'en suive, elle les torturait, juste pour voir les réactions, pour la science. Elizabeth n'avait tué que deux patients durant son séjour au centre. Et encore, cela n'était qu'à moitié sa faute, les jeunes étant pour une une droguée qui fit une crise de manque trop forte à cause du poison injecté, et l'autre qui n'avait pas résisté au voltage normal et qui avait fait une crise cardiaque. Comment avait elle justifié cela ? Mort pour la science, voilà tout.

    La page d'ordinateur était à peine chargée que déjà, les portes du bureau s'ouvraient, laissant passé un détenu, encadré de quatre gardiens.
Revenir en haut Aller en bas
Alec Olsen

Alec Olsen



Feuille de personnage
Who I Am:
Condition dans le centre ::
Animorphose:

Travail de jour comme de nuit ( Alec ) Empty
MessageSujet: Re: Travail de jour comme de nuit ( Alec )   Travail de jour comme de nuit ( Alec ) EmptyDim 29 Mar - 23:52

    Le premier détenu ? non , la première .
    Efflanquée , la gamine pénétra dans le bureau , encadrée de quatre gardiens a l’air patibulaire . Menottée , elle serrait les poils et son visage pale était crispé par un masque de haine pure et simple . Masque qui se transforma en une mine affolée quand je surgis . En effet , tard le soir , hier , j’avais pénétré dans le bureau de la scientifique et consulté son ordinateur , ayant volé le pouvoir d’un détenu qui permettait d’ouvrir n’importe quel cadenas , réel ou magnétique . J’avais donc essuyé sans problème le souci des mots de passe , et j’avais remarqué que celle que je recherchais depuis trois jours allait être la victime du docteur Portman . Je ne pouvais pas trouver mieux . J’avais donc pris possession du plafond , dissimulé dans le faux plafond , haut de vingt centimètres environ , tantôt sommeillant , tantôt prêtant oreille a ce qui se passait a l’extérieur de ma cachette improvisée . Vers les trois heures du matin , la propriétaire du bureau était entrée et avait débuté ses expériences . Et a huit heures tapants , la détenue était entrée . J’avait donc surgi .

    A demi transforma , j’étais sous ma forme humaine , possédant la queue , les oreilles , les crocs et les griffes de mon animal mutagène . En exactement deux secondes , j’étais derrière les gardiens , et en avait tué deux , leur ayant sectionné la carotide . Le sang avait aspergé les murs en un geyser cramoisi , mais je n’en avait cure . Je recouperais aussitôt leurs pistolets électriques , et tuaient les deux autres avec les armes . Restait dans la pièce la scientifique et la détenue . Ayant préalablement fouillé le bureau durant la nuit , j’avais pulvérisé toutes les armes possibles , allant du pistolet laser au simple couteau , dénichant même les cachettes secrètes a l’aide de l’ordinateur et des gardiens que j’avais fait parler . Bien sur , il devait en rester une ou deux que je n’avais pas trouvé .. Ce fut la raison pour laquelle je lui expédiais un solide coup de jus , sachant par expérience qu’elle possédait un bracelet qui contrôlait le flux mais qui ne l’anéantissait pas totalement . Au lieu de la tuer , l’electrcité l’abrutirait , rien de plus . Elle s’effondra , et je me retournais vers la prisonnière . La scène n’ayant pas duré plus de vingt secondes .

    La détenue avait plus pale qu’un cadavre , ses lèvres étaient bleues , et ses yeux avaient triplé de volume . Elle tremblait comme une feuille sous la tempête . Serrant les crocs , je pointais le revolver sur sa tempe , tentant de garder mon sang froid . Autant vous dire que ce fut difficile . D’une voix rauque , je grondais un / Rends le moi immédiatement / qui la fit vaciller . Aussitôt , j’enroulais mes doigts autour de son cou , la soulevant a bout de bras en l ‘étranglant avec un sang froid digne du plus grand scientifique du centre , sadique a les faire palier . La fille se mordit la lèvre , ses yeux se remplirent de larme , et ses mains se desserrèrent , laissant entrevoir un long fil noir d’ou lequel pendait un sablier tout a fait opaque qui contenait une partie de mon ame , objet qui m’était cher . Je m’en emparais avidement , et d’un mouvement du bras , arrachais la tête de la donzelle , tachant de nouveau les murs d’une mare de sang .

    Insensible , je passais l’objet a mon cou . bilan , cinq morts en même pas une minute . Fermant les yeux , je soufflais tranquillement , avant de me retourner , voyant que la scientifique reprenait conscience . Nonchalamment , je braquais le revolver sur elle , voyant que la porte du bureau était fermée a clef . J’étais enfermé avec elle , et il était hors de question que je sois le prochain sur sa liste de victimes . Surtout qu’elle risquait de ne pas me louper après le meurtre d’Autumn et de la brunette nommée Sophia .
Revenir en haut Aller en bas
Elizabeth Portman

Elizabeth Portman



Feuille de personnage
Who I Am:
Condition dans le centre :: Scientifique
Animorphose:

Travail de jour comme de nuit ( Alec ) Empty
MessageSujet: Re: Travail de jour comme de nuit ( Alec )   Travail de jour comme de nuit ( Alec ) EmptyLun 30 Mar - 0:17

    C'était une jeune fille qui était rentrée. Sophia Malern était écrit en gros sur la page d'ordinateur qui se composait aussi d'une photo et de tout un tas de renseignement sur elle, depuis le jour de son arrivé au centre. Tout était consigné dans les ordinateurs, absolument tout. La plupart des élèves ignoraient ou ne se rendaient pas compte de cette observation qui était sur eux vingt quatre heures sur vingt quatre. Cette personne dormait avec un ours en peluche ? C'était noté. Elle avait eut du mal à dormir cette nuit ? Noté. Ce qu'elle avait mangé à midi ? Idem. Tout, absolument tout était conservé, bien à l'abri derrière des dizaines de mots de passes introuvable pour un simple détenu.

    Voulant jeter un coup d'oeil à cette gamine, le docteur Portman fut dépassé par une sorte de bête mi homme mi félin qui sortait d'on ne sait où du plafond. Avec une rapidité hors du commun, il réussit à se saisir des gardiens, les tuant avec une froideur calculée dans le silence le plus complet. Elizabeth ne paniquait pas, non, elle avait reçut assez de seminaires pour savoir comment s'occuper d'un détenu dangereux. Posant son regard sur le bureau, elle s'aperçut que le tazer dont elle disposait en cas d'urgence avait disparu. Pendant ce temps, l'homme animal c'était saisi d'un des pistolets électrique des gardiens et s'approcha dangereusement d'elle, ne prenant pas une seconde d'hésitation avant de lui en envoyer un coup qui l'envoya au sol. Grave erreur jeune homme, grave erreur. Les gardiens... passe encore, ils n'étaient que des pions dans ce Centre ; mais s'attaquer à un des scientifiques était un des crimes les plus punis de l'établissement. Et une seule punition était possible : la mort. En l'attaquant, le jeune homme signait son arrêt de mort...

    A terre, Elizabeth pouvait cependant voir ce qui se passait près d'elle. Le jeune homme, qui lui semblait complètement fou venait de s'attaquer à la jeune fille, la prenant par le cou et lui lâchant une phrase d'une voix meurtrière. Une idée vint alors à la scientifique. Risquée certes, car qu'est ce qui empêchait le garçon de passer à son sixième meurtre ? Glissant sa main dans sa poche de veste, elle sortit une seringue qu'elle déboucha avec les dents, crachant au loin le capuchon qui roula sous le bureau. Caché sous sa poitrine collée à terre, le docteur attendait le bon moment pour injecter le poison au détenu. Oh, se n'était pas un poison bien méchant, mais en l'espace de quelques secondes, il paralyserait les muscles du détenus et lui rendrait sa forme humaine, sa forme la plus vulnérable.

    Soudain, un horrible craquement se fit entendre et quelque gouttes d'un liquide rouge s'écrasèrent sur la joue du docteur qui semblait maintenant au bords des larmes. Etait il possible qu'un détenu soit aussi peu doué de sentiments ? Après un instant de pause, les pas légers de la panthère humaines revinrent dans son sillon. Relevant à demi la tête, Elizabeth put voir le revolver qui visait sa tempe. Une pression sur la gâchette et elle pourrait rejoindre ses collègues les surveillants et faire son examen à Sophia au paradis. Mais le détenu était prêt d'elle maintenant, assez prêt pour qu'elle réussisse à lui planter l'aiguille dans le mollet. Ce qu'elle fit. En quelques secondes, le pistolet tomba par terre, les muscles des mains trop relâchés pour tenir quelque chose et ce fut l'homme tout entier qui tomba à ses côtés.

    Se relevant difficilement, Elizabeth tourna la tête du détenus vers elle avec violence pour voir à qui elle avait affaire. Un visage qui lui disait quelque chose... Et pour cause, elle se retrouvait devant Alec Olsen, présumé meurtrier d'une trentaine d'élèves et pions, sans jamais que preuve soit faite. Mais cette fois elle l'avait prit devant le fait accomplis.

    Poussant un long soupir, son coeur faisait des sauts puissants qui résonnaient dans sa poitrine. Le liquide avait bien agi, mais la corpulence d'Alec l'eliminerait rapidement. Se saisissant du flingue, elle le posa sur son bureau dont elle sortit des menottes en adamantium. Un bras attaché au poteau du mur, elle laissa Alec reprendre ses esprits et dit d'une voix encore secouée par le choc :


    "Et bien Alec, cette fois on dirait que tu t'es fais avoir."
Revenir en haut Aller en bas
Alec Olsen

Alec Olsen



Feuille de personnage
Who I Am:
Condition dans le centre ::
Animorphose:

Travail de jour comme de nuit ( Alec ) Empty
MessageSujet: Re: Travail de jour comme de nuit ( Alec )   Travail de jour comme de nuit ( Alec ) EmptyLun 30 Mar - 1:01

    Je n’avais absolument aucune idée de e que j’allais faire par la suite . Mon regard braqué sur la scientifique a terre , j’imaginais que j’allais de nouveau la paralyser , lui arracher son bracelet puis al tuer . Ou en cas de problème , je lui arracherais la tête a elle aussi , avant d’exploser son précieux ordinateur et démolir méthodiquement le disque dur . Et encore une fois , la course poursuite recommencerais , lasers électrifiés et pistolets , menottes et seringues , tous courrant après l’homme qui s’était fait invisible . J’avais mes méthodes …
    J’imagine que je mis trop de temps a réagir car je sentis une aiguille s’enfoncer dans ma jambe . Retenant un grondement , je m’assis brutalement a terre , évitant de m’affaler comme une vache mitraillée , et jetais a la femme un regard vaguement dégoûté . Ils ne pouvaient pas me relâcher une bonne fois pour toutes ? Moi parti , il n’y aurait plus aucun meurtre … Mais non , ils continuaient a me garder . Assommé par la drogue , je sentis une menotte se refermer sur mon poignet , que je toisais silencieusement , avant de revenir a la femme , ayant retenu principalement qu’il ne fallait pas quitter ces abrutis des yeux . Je remarquais avec une pointe de satisfaction parfaitement dissimulée qu’elle avait peur de moi , et son cœur résonnait dans la pièce désormais silencieuse .

    Je ne tardais pas a revenir a moi , et massais tranquillement mon poignet entouré par la menotte , examinant les maillions de la chaîne d’un air intéressé . Hum , parfait . Relevant la tête , je croisais les jambes , sentant le sang épais que j’avais fait couler transpercer mon pantalon . Mon dieu , il y en avait plus que je ne pouvais l’imaginer . Mes pupilles se dilatèrent soudain , et je dus faire un immense effort de volonté pour ne pas plonger en avant et laper ce divin nectar . La voix de la savante vint me perturber d’avantage , et je croisais son regard , tout a fait serein . Elle croisait dur comme fer qu’elle m’avait eu en plus … Un sourire narquois se dessina sur mes lèvres . / Absolument , cela ne fait rien que la vingt septième fois / Et vlan , dans les dents chérie . Si tu crois être la seule a avoir réussi a m’attraper .. Seulement voilà , j’avais réponse a tout , un sang froid a toute épreuve et une imagination presque indécence pour trouver n’importe quelle solution complètement folle qui me sauverait d’un grand péril . Et a chaque fois je réussissais . C’était devenu une routine . Cette femme n’en avait pas conscience évidement . Car au début , on criait sur tous les toits qu’on m‘avait eu , mais comme je m’échappais a chaque fois , le scientifique était couvert de honte . Depuis ces mésaventures , quand on m’attrapait , on décidait de me tuer avant et de prévenir les autres après , histoire de se couvrir de ridicule . La salle de torture était devenue une amie , une salle que je connaissais dans les moindres recoins . Et ou je parvenais toujours a m’échapper , quelque soit les menottes , les armes ou les poisons qui me retenaient . On élève pas sa liberté a un guépard .

    Lâchant un soupir ennuyé , comme is tout ceci n’était qu’un ju qui m’endormait passablement , je m’adossais au mur , mes yeux se baladant sur la scène retapissée en rogue sang . Voyons , je savais déjà comment faire si je ne parvenais pas a me retransformer d’ici peu . Ensuite … Ah , idée . Pas ensuite non . maintenant . Je toisais la scientifique , toujours secouée par le monstre qui avait débarqué dans son bureau , et d’un mouvement habile du pied , j’heurtais sa jambe avec violence , geste devenu quasiment automatique en toute situation , si évolué que la femme chuta aussitôt , comme je l’avais fait avec Effy quelques jours plus tôt . D’un mouvement rapidement , je relevais sa manche et lui arrachais le bracelet anti electrcité . J’avais entendu récemment que ce bracelet allait être remplacé par une chaîne cadenassée contenant un microprocesseur qui réagissait aux agressions contenant l’ADN des mutants , mais je remarquais avec plaisir que c’était toujours cette bande de tissu avec un scratch totu a fait banal . Des fois , je me demandais su les savants le faisaient exprès . Je lui ôtais donc cette protection , et la déchirais en lambeau , méthodiquement , claquant la puce anti électricité entre mes doigts . Voilà , maintenant chérie je pourrais te désintégrer des que je serais libre . Nonchalamment , je redressais la tête , haussant un sourcil . / A part ça vous comptez me tuer bientôt ou vous attendez de voir comment je vais me libérer ? / Impertinence ? Exactement . On ne transforme pas une panthère en agneau mes amis . Par curiosité , vous vous demandez pourquoi je ne l’avais pas tuée tant qu’elle était a terre ? Simple . J’avais besoin des clefs des menottes , et celle de la porte =P
Revenir en haut Aller en bas
Elizabeth Portman

Elizabeth Portman



Feuille de personnage
Who I Am:
Condition dans le centre :: Scientifique
Animorphose:

Travail de jour comme de nuit ( Alec ) Empty
MessageSujet: Re: Travail de jour comme de nuit ( Alec )   Travail de jour comme de nuit ( Alec ) EmptyLun 30 Mar - 22:08

    Alec était toujours par terre mais c'était assis, le choc de la piqûre étant quelque peu effacé. Le liquide avait coulé dans ses veines avec une rapidité hallucinante. En dose plus importante, s'aurait été la paralysie totale et à vie, qu'importe la force de lui celui se faisait piquer. Un poison restait un poison et rien ne pouvait en diminuer sa puissance. Tel le venin du serpent, la douleur venait de suite après la morsure, l'injection, rapide et sinueuse, une attaque vicieuse qui ne laissait pas le temps à sa victime de protester, de riposter, ou même de se rendre compte de quelque chose. Et l'homme panthère qui gisait à ses pieds dans sa forme primitive c'était fait mordre par le serpent comme une simple souris, ou un gros animal, croyant à la faiblesse de son adversaire d'écailles et qui au final c'était fait prendre à ce déguisement. La nature n'avait pas si mal fait les choses que ça...

    Reposant sa seringue tandis qu'elle écoutait parler le détenu, la scientifique jeta un regard aux menottes. L'adamantium, le métal le plus dur de cette planète, rien ne pourrait le transpercer ni le briser. Si Alec voulait vraiment s'en défaire, il avait deux solutions : celle de se transformer, puisque l'idée d'une mutation semblait le titiller depuis un bout de temps et ainsi s'arracher la patte sous le cercle imbranlable ou sinon lui voler la clé. Celle ci était attachée à une chaînette d'argent que le docteur s'empressa de glisser dans son décoleté, à l'abri des regard et de la main du détenu.

    "Absolument , cela ne fait rien que la vingt septième fois". Il était vrai que le garçon c'était fait prendre, comme maintenant, par certains de ces collègues qui avaient débarqués, plus qu'excité dans leur salle de repos, criant haut et fort qu'ils avaient réussi à capturé le grand malfrat de ce Centre. Oui, les autres, mais elle, elle n'était pas comme eux. Sa gloire à elle serait de trouver le gène défaillant et comment le guérir, rien de plus, rien de moins. Ce qui était autours, les futilités concernant les détenus, aussi dangereux qu'ils soient, ne la touchait pas. Ce qu'elle aimait c'était son travail, point barre.

    Soudain, elle se sentit de nouveau chuter ; mais cette fois, remplaçant le bâton électrique, c'était le tibia de l'assassin qui avait heurté sa cheville, l'étalant aussi sec sur le sol dans un cri étouffé. Ce ne fut pas tout, avant qu'elle n'ai put se rendre compte du fait qu'elle se trouvait par terre, la main musclée et blanche comme la mort du détenu avait aggripé son poignet, lui ôtant le bracelet électronique qui empêchait à tous les scientifiques de recevoir une charge mortelle. Se poussant rapidement, la scientifique se releva, une main se massant sa hanche douloureuse, les sourcils légèrement froncés. Sa patience commençait à faiblir.

    A part ça vous comptez me tuer bientôt ou vous attendez de voir comment je vais me libérer ? Le tuer ? Non, elle ne comptait pas le tuer, cela ne lui aurait servi à rien. Elle venait de perdre sa patiente, elle en avait un nouveau en face d'elle. Surtout que la volonté à la mutation de celui ci semblait être une facette de cet homme. Sortant du bureau pour se rendre au laboratoire, la jeune scientifique revint, une mallette en acier dans les bras. Tout en tournant les chiffres du code, elle répondit à Alec :


    "Te tuer ? A quoi bon, tu peux me servir. En ce qui est de te libérer, je demande à voir."

    Relevant les mains, la seringue parue visible aux yeux du détenu. S'approchant de lui d'une façon déterminé, elle planta sans douceur l'aiguille et aspira le sang de l'assassin.

    "Bien, Alec, voyons ce que nous révèle votre sang."

    Mettant le tube à essai dans une machine, elle revint ensuite à lui. Les ron ron du mélangeur emplissant la pièce en bruit de fond.

    "Apparemment tu es joueur... nous allons donc jouer."

    Nouvelle seringue, mais cette fois remplie d'un liquide verdâtre qu'elle planta dans le cou du blond. Le détenu devait sentir comme une brûlure intense qui aurait fait plier n'importe qui. Une brûlure fulgurante, comme si les feux de l'enfer courraient tout au long de votre corps. Quelques secondes après le feu était partit, le patent redevenant normal.... En apparence. Ce liquide excitait le côté animal tout en restant humain. L'homme devenait bête, sang et domination, il devenait un vrai démon, il devenait l'animal à part entière....


Revenir en haut Aller en bas
Alec Olsen

Alec Olsen



Feuille de personnage
Who I Am:
Condition dans le centre ::
Animorphose:

Travail de jour comme de nuit ( Alec ) Empty
MessageSujet: Re: Travail de jour comme de nuit ( Alec )   Travail de jour comme de nuit ( Alec ) EmptyMar 31 Mar - 11:32

    Bien sur que non elle n’était pas comme les autres . Et alors ? son voisin était différent d’elle , et tous deux différaient d’un détenu , chacun se croyant plus puissant que l’autre , plus intéressant . Chacun se pensant unique . Moi , parfois , on me décrivait comme unique , comme un fléau ,dévastateur qui amenait peur , haine et désespoir . Un phénomène que personne n’arrivait a dompter , aussi puissant que le cyclone et dévastateur qu’un raz de marée . La nature ne se domptait pas . Elle se laisse faire , telle l’eau gisant entre deux écluses , puis d’un mouvement , explose les barrages , réduisant villes ou îles en deux jours . Lles créations de mère nature avaient été conçues pour vivre libres , et l’homme , cette erreur de notre mère a tous , ce spécimen qui se pensait supérieur , avait décrété qu’il vivrait selon ses lois et non celles de la Terre . voilà ce qui le conduisait a sa perte . La scientifique en était un bon exemple . Moi , j’étais en partie cette erreur humaine , aussi désespérant que cette espèce que je haïssais et qui pourtant , coulait dans mes veines . Mais j’étais surtout la bête , le fauve pigmenté de noir et blanc , dont l’esprit n’est divisé qu’en deux choses . Tuer . Et survivre .

    Bien que sous forme humaine , je préservais ce puisant instinct , car mon corps et mon esprit étaient liés avec le fauve qui m’avait prêté ses gênes . Il ronronnait en moi , me promettant qu’il me délivrerait bientôt . Moi , faible humain , je n’avais qu’a me laisser faire . Et c’est ce que je faisais . Petit a petit , mes yeux se nuançaient de dégradés bleu acier , celles de mon animal mutagène , et je sentais son esprit , son intelligence surprenante entrer en moi . Mes sens me paraissaient plus aiguisés , je sentais la scientifique tout près , ses cheveux parfumés , sa blouse fraîchement lavée . J’entendais son cœur battre , je sentais l’air qu’elle produisait sur son passage flotter ma peau tendre de bipède . Ce fut donc dans cet état d’esprit que je perçus avec acuité la seringue qui s’enfonçait dans mon bras , me prélevant du sang . Je ne réagis pas , cet acte n’était qu’une caresse sur ma fourrure depuis longtemps . Fourrure ? Ma peau était toujours aussi nue , mais l’ame du fauve s’infiltrait de plus en plus dans ma conscience . Encore un peu , et je serais un humain bestial ,. Seul , je n’aurais pu y arriver . Lui non plus . Mais nous serions bientôt deux , la bête dans la peau de l’homme . Les sens et l’instinct du guépard , la méthode et les anticipations de l’humain . Nous serions infaillible .

    Et puis soudain , une autre aiguille qui pénétra dans mon derme . Refusant de desserrer les paupières , je comptais mentalement avant de ressentir le choc . Je n’allais pas plus loin que deux , un long frisson secouant ma colonne vertébrale . Ce fus le seul signe que je montrais ,. Pas un son , pas un mouvement convulsif , rien . La douleur était intenable . Immense . Je croyais périr sur un bûcher . Mais aussi longtemps que je me souvienne , je n’avais jamais hurlé . Jamais . Même dans la salle de torture , ce qui avait attisé la foudre des bourreaux qui m’avaient cisaillé pendant des heures et des heures , cherchant a m ‘extirper un son . J’aurais sans doute cédé cette fois , si la présence du félin n’était pas en moi . Et je sentais qu’elle prenait de l’ampleur . C’était sans doute le produit qu’on m’avait injecté . Tentant de lui inculquer ma méthode humaine , je le priais de ne pas commettre de bêtises , simplement , qu’il nous sorte d’ici , qu’il ne prenne pas le temps de manger un cadavre ou deux . Cadavre . Sang . Mes yeux s’ouvrirent totalement , brutalement , et je sus par expérience que je n’avais plus rien de visible , mis a part une pupille si dilatée qu’on ne voyait plus qu’elle , immense trou noir qui avait repoussé l’iris jusque sous la paupière . La panthère avait faim . Et la pièce ne portait plus que cette odeur de chair étalée sur le sol , buffet a volonté . Et devant elle , tambourinait un petit cœur paisible , innocent . C’avait été de l’imprudence de m’injecter ce produit . Car j’étais dangereux en tant qu’humain , plus encore sous forme de bête . Mais une bete humaine … La scientifique n’avait même pas reculé d’un pas . Ma flamme d’humanité vacilla , alors que mes yeux insondables se posaient sur elle , sans une nuance de blanc pour lui donner forme humaine . Rien qu’une prunelle noire et avide , ou flambaient les flammes de l’enfer . Pauvre sotte . Je me retirais au plus profond de ma conscience , laissant faire mon ami le félin .

    D’un bond en avant , le marionnettiste , félin dans un corps humain , se redressa . Le lien qui l’entravait a la jointure de la patte l’entravait , mais il avait l’habitude . Dans cet institut de fous , on ne faisait que l’attacher . Et toujours , il arrivait a rompe ses entraves , qu’elles soient cordes , métal , bois , adamantuim ou quoi que ce soit d’autre . L’humain en lui avait l’habitude . Se jetant en avant , il tendit la patte , dépourvue de griffes . Habitué , il referma ses doigts sur la patte de la bipède , entendant aussitôt son cœur louper un battement . Pauvre chérie … Il l’attira a elle , non pas pour une étreinte passionnée . Ou plutôt , celle d’un autre genre , d’un autre monde , bestial , qu’elle croyait comprendre sans même imaginer a quel point il était cruel . Dans le monde ou il vivait , même avec l’humain qui lui prêtait son corps , il n’y avait ni bons , ni méchants . Juste l’envie de survivre . Et surtout , celle de tuer . Alors qu’une partie de son cerveau , occupée par le garçon , se saisissait de la clé dans le décolleté de la femme dans aucune gêne , il planta ses crocs monstrueusement courts et plats sous l’oreille de la femme ; crevant la carotide . Le sang jaillit , le rendant comme fou . Devenu mi bête , mi vampire , il mordit férocement dans ce cou qui facile a trancher , alors que la dernière étincelle d’humanité d’Alec s’éteignait dans un crépitement discret .
Revenir en haut Aller en bas
Elizabeth Portman

Elizabeth Portman



Feuille de personnage
Who I Am:
Condition dans le centre :: Scientifique
Animorphose:

Travail de jour comme de nuit ( Alec ) Empty
MessageSujet: Re: Travail de jour comme de nuit ( Alec )   Travail de jour comme de nuit ( Alec ) EmptyDim 5 Avr - 10:27

    Non sans plaisir, le docteur Portman assistait, avec un certain recul, à la métamorphose de son patient de fortune. Déjà, les pupilles de l’homme prenaient une teinte ébène qui ne présageait rien de bon. Aussi harmonieuse que soient les relations entre l’humain et son hôte animal, la bête reprenait toujours le dessus sur son géniteur, aussi puissante que la nature l’avait faite. De plus, Alec n’était pas n’importe quel patient. Son animagi était notée dans les plus puissantes du Centre, une des plus dangereuses, agressive… rendue doublement insensible et cruelle par le caractère de l’humain. La panthère semblait naître à travers les yeux de l’homme, prenant tout contrôle de son cerveau, effaçant toute raison, toute civilité en lui… Ces injections, elle ne les utilisait que très rarement ; premièrement car cette procédure, peu appréciée par le personnel du centre était vraiment risquée et dangereuse, et deuxièmement car beaucoup n’en valait pas le coup. Un félin, un canidé, cela était intéressant mais un simple cygne, une biche… rien de très excitant, l’animal étant souvent aussi gentil ou plus faible que son hôte.

    Prenant son carnet de note en main, la scientifique observait avec un intérêt non caché les actions qui se déroulaient sous ses yeux. Bien souvent, le patient hurlait, se prenait la tête, s’arrachait même des cheveux, des bouts de chaires tellement cette transformation hors norme était douloureuse et inacceptable pour tout esprit humain. Car oui, l’humain avait cela d’admirable qu’il voulait toujours le contrôle sur l’autre, qu’il avait peur de se laisser dominer, surtout par une bête. Regardez à travers l’histoire. L’homme à toujours voulut imposer son contrôle sur tout ; les animaux, beaucoup plus fort physiquement que les bipèdes, et qui, d’un coup de crocs ou de pattes, les auraient envoyés dans un autre monde, ils les cloîtraient dans des zoo, les abattaient pour s’en faire des manteaux etc… Tout ça pour montrer leur puissance à défaut des fausses explications qu’ils pouvaient donner. Le Docteur quand à lui, n’en avait strictement rien à faire des animaux. Que les tigres soient en voix de disparition ou pullulaient à en décimer des villages entiers en Inde, c’était du pareil au même chez elle. La seule chose qui l’intéressait était de comprendre cette merveilleuse erreur de la nature qui avait infecté tant de jeunes hommes et femmes de son espèce.

    Et c’est plongée dans ses pensées et son attention trop minutieuse des faits et gestes d’Alec qu’elle ne s’aperçut pas de la main se refermant avec une force brutale sur son mollet, la faisant tomber à la renverse, son cou tapant contre le rebord du bureau et son carnet valsant à quelques mètre de l’endroit où elle se trouvait. La jeune femme ne put réprimer nu hurlement quand elle vit le visage et le corps de son patient de rapprochait d’elle. Le produit avait marché à merveille, dans ses yeux, ne résidait plus aucune humanité, juste la folie animale et meurtrière de la bête en cage. La main dépourvue de griffe agrippa son décolleté, arrachant des bouts de tissus au passage et s’emparant de la clé de sûreté qui lui assurait sa liberté. Soudain, au comble de l’horreur, les dents qui faisaient office de crocs à la panthère humaine s’enfoncèrent dans son cou à la peau tendre. Le docteur hurla de plus belle, le sang de son cou se déversant à torrent dans la bouche du jeune homme, se mêlant avec celui qui baignait déjà la moquette de son bureau. Cette scène était comme un des pires films d’horreur que l’homme ait put inventé. Terrifiant, voilà le mot, et dans sa douleur, Elizabeth Portman se maudissait d’avoir, encore une fois, voulut tenter le diable, défier la nature. Mais le temps n’était pas à l’auto réprimande. Si elle voulait survivre, il fallait qu’elle face quelque chose. Elle n’avait rien à espérer de la bête qui la tuerait dans pitié si elle n’agissait pas.

    Tâtonnant à l’aveuglette, cessant de hurler mais la douleur se faisant de plus forte, la jeune femme parvint à mettre la main que le pistolet électrique qu’Alec avait dans les mains avant de se faire attacher. L’actionnant avec rapidité, elle en assena un puissant coup à Alec, le faisant lâcher son cou délicat et poisseux de sang. Se traînant, elle arriva jusqu’au bureau, une main fermement appliqué sur la déchirure de son cou, essayant par cela d’arrêter les saignement abondant qui la tueraient sans soin. Ses instincts de médecins, perdus dans la confusion, refaisaient surface. Un coup d’œil à Alec : il était toujours attaché mais dans quelques secondes la clé volée aurait joué son rôle salvateur. Se plaquant les compressent de soin, le sang diminua son flot sans pour autant s’arrêter. De sa main libre, elle se saisit d’une seringue pleine, arrachant le capuchon et la plantant dans son bras. Une seconde, deux secondes… le sang s’arrêtait de couler. Merveille de technologie, ce centre renfermait les meilleurs remèdes et soin du monde, qui auraient été jugés comme magique par un externe à ce petit monde fermé. Les forces, cependant, commençaient à la quitter. La dose importante de sang perdu lui faisait tourner la tête, se rajoutant à cela, la douleur menaçait de lui faire perdre conscience. Sa vue commençait à se troubler et son souffle se faisait rapide, presque étouffant sous l’horreur et la panique qui la saisissait. Jamais telle situation ne lui était arrivée. Qu’est ce qu’elle pouvait faire ? Rien. Elle se sentait perdue. Il n’y avait que ce pistolet dans ses mains. Mais aurait elle encore la force d’appuyer dessus si jamais il repassait à l’attaque ?

    Assise en boule, comme un enfant perdu, le corps tâché d’un sang récent, le docteur observait, les larmes coulant sur ses joues, le monstre qu’elle avait engendré et qui commençait à reprendre vie et liberté.
Revenir en haut Aller en bas
Alec Olsen

Alec Olsen



Feuille de personnage
Who I Am:
Condition dans le centre ::
Animorphose:

Travail de jour comme de nuit ( Alec ) Empty
MessageSujet: Re: Travail de jour comme de nuit ( Alec )   Travail de jour comme de nuit ( Alec ) EmptyDim 5 Avr - 11:52

    Sang . Tuer .
    La panthère était prise d’une frénésie qui lui faisait presque mastiquer la chair et les artères qu’elle tentait de broyer , frustrée de ces crocs qui ne sectionnaient pas , cette mâchoire si faible , qui l’empêchait de broyer les os qu’il voulait arracher . L’énervement gonflait en lui comme une vague qui montait , invisible et au large , avant de s’abattre en un raz de marée qui détruisait tout sur son passage . Ce corps la lui déplaisait , et sa fureur semblait repousser la conscience de son hote humain dans les tréfonds de son corps , alors que je produit se dissipait lentement dans ses veines . Le male le sentait , ce qui l’empêchait de reprendre son apparence cédait peu a peu , pouces par pouces , dilué dans le sang , évacué par les sourdes pulsations de son cœur faible d’humain . Bientôt oui , il reprendrait sa forme , et tuerait ce gibier d’un coup de griffes , avant de lui arracher le cœur et les viceres .

    Celle étrange pensée sembla rassurer le male pigmenté de noir , maîtrisant son impatience galopante pour laisser place a sa brillante intelligence . Bonne initiative , car aussitôt , il perçut le mouvement de la femelle . Elle tendait la main vers le pistolet a impulsions électrique . Devinant aussitôt qu’elle allait tirer , il enfonça entre plus profondément ses crocs dans le cou ensanglanté qu ‘il déchira a belles dents , ses dents d’humain sectionnant dans mal les veines sans entamer les chairs , trop plates . Autant faire le plus de dommages possibles pour affaiblir la proie . Enfin , il reçut l’onde , qui le projeta en arrière , et il heurta le mur avec un grondement sourd tout a fait bestial , plus de frustration ravalée que de douleur . Enfin , pour l’instant .

    L’électricité le paralysa aussitôt , tendant ses muscles a les rompre , alors qu’un bourdonnement sourd emplissait ses oreilles , l’aveuglant de flashs puissants partant au coin de ses iris . Grincant des dents , le male se retira tant qu’il le pouvait dans l’esprit d’Alec , cherchant a atténuer leur douleur commune . Mais la aussi , des chaînes semblaient le retenir , et le corps de l’homme restait tout possédé complètement par l’animal . Néanmoins , il restait une parcelle de vide , et la personnalité de l’humain s’en empara .

    J’étais enfin revenu dans mon corps . Maître de mes mouvements , du moins en partie . Rassurant la panthère , je cherchais a lui éviter le plus de chocs possibles , sachant que des que le produit cesserait d’agir , je lui laisserais le champ libre . Qu’il brise , qu’il torture . Qu’il Tue . Tous réunis pour un seul but : sortir . Je tachais de reprendre le contrôle de mon corps , éprouvant une réelle difficulté a boguer mes doigts , sans doute par la panthère qui résistait inconsciemment et les chocs électriques . Lever le bras fut une torture , et viser la serrure , les doigts serrés , me prit une dizaines de minutes . L’électricité s’affaiblissait , et je sentais l’animal reprendre peu a peu le contrôle sur moi , comme un étau se resserrant . La clé fut enfin posée dans la serrure , et je posais mes doigts dessus , cherchant un tourner . La panthère s’agitait en moi , impatiente de se libérer , reprenant le contrôle sur mon corps . Il était donc plus difficile de faire tourner la clef , mes doigts refusant de plier , telles les pattes d’un chien ou d’un chat . Ce fut après une autre poignée de minutes que je réussis a tourner la clé , qui ouvrit la menotte en un clic discret .

    Libre ! Enfin ! Repoussant violemment l’humain au fond de leur corps partagé , l’animal reprit le contrôle , haletant par l’effort qu’Alec avait fourni en un simple geste , du moins en apparence . Il sentait le sang bouillonnait au fond de ses veines , libre de l’influence du produit . Il lanca aussitôt la mutation , ses yeux luisant d’un désir avide et bestial . Pourtant , la mutation se faisait attendre . Avec une lenteur désespérante , le guépard vit ses ongles plats et mous d’homme s’allonger et se durcir , devant de puissantes griffes vicieuses et létales , alors que ses crocs opéraient la même mutation . Ses oreilles mutèrent elle aussi , sa silhouette prit un aspect félin . Et ce fut tout . Il en aurait explosé le mur de frustration . Emmetant un grondement mauvais , il bondit , se réceptionnant sur le bureau , la ou siégeait l’ordinateur , et ses griffes transpercèrent de part ne part l’écran de la bête métallique . Il lui fallait quelque chose pour évacuer sa rage de ne pouvoir reprendre son apparence , et l’humain lui avait dit que l’ordinateur devait être détruit . Parfait . De Il procéda de même pour la tour , arrachant des poignées de fils qu’il laissait tomber sur le sol sans regrets , avant de démanteler la tour , envoyant les composants dans toute la pièces , brisés en deux ou trois . Le disque sur ne fut pas épargné , et les disquettes et CD dans les tiroirs divers et variés furent eux aussi explosés contre le mur . Un carnage informatique , qui bloquerait un long moment les travaux de cette bipède . Et qui permettrait de perdre beaucoup de données .

    Au bout d’un moment , la bête se laissa tomber sur le sol , ses yeux vifs survolant la pièce mise a sac . Rien n’était resté entier , sauf le bureau , une lourde armoire désormais vide , et un pistolet tenu par un humain . Dardant ses prunelles ambrées sur celle ci , la panthère la fixa longuement , durement . Et relança la transformation . De nouveau , les craquements . Sa queue apparut alors , s’allongeant peu a peu pour retrouver sa longueur habituelle . Son faciès s’allongea , devant un museau , et son corps se couvrit d’une toison blanche et noire , . Il était désormais un humain couvert d’une fourrure de bête , possédant la tête et la queue d’une panthère des neiges , et ses mains ressemblaient aux pattes d’un grand félin a l’effigie humaines . Cinq doigts pliants avec griffes et coussinets . Encore quelques instants et il redeviendrait comme il devait l’être . Un sourire carnassier étira ses lèvres , dévoilant un râtelier bien garni . Il se tendit , près a éviter n’importe quoi , sa rage le rendant aussi rapide que la foudre . Ou presque .
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Travail de jour comme de nuit ( Alec ) Empty
MessageSujet: Re: Travail de jour comme de nuit ( Alec )   Travail de jour comme de nuit ( Alec ) Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Travail de jour comme de nuit ( Alec )
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Méditation... ( Alec <3 )
» Chui pas un chat ! [Alec]
» Rencontre improvisée ? x Feat Alec x

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
.:Central Wild:. :: x Généralités x :: x Archives-
Sauter vers: